Habitat
La ville parfaite peut-elle exister?
http://www.behance.net/gallery/Eco-Village-Community/2801459
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/73664.htm
Rui Vasques, 25 ans, designer, a créé le modèle de la ville parfaite, Eco-Village Community. Cette étude lui a valu le prix du Meilleur Etudiant du Cours IADE 2012 et une présentation de son projet dans tout le pays. Sa création prend en compte plusieurs facteurs, tels que la protection de l’environnement, le design des bâtiments et de la ville, les constructions…
Le projet Eco-Village Community est né dans le cadre de son Master en design en reliant quatre thèmes – culturel, scientifique, expérimental et logistique – et en introduisant des domaines tels que l’écologie, l’anthropologie, la sociologie, les neurosciences, l’art, la bioconstruction, le marketing vert.
Sky City One ou la ville la plus écologique au monde?
Cette ville de 100 000 habitants, sur 200 étages serait la plus dense au monde et peut être même la plus écologique, si on prend en compte la plupart des critères en vigueur. Puisqu’il s’agit d’une ville sans voiture, qui économise l’eau, l’énergie, les matériaux, les sols. Elle serait d’ailleurs le meilleur remède à l’étalement urbain.
On pourrait se dire que l’aspect humain et social est complètement oublié, mais non!, c’est dans leur plaquette :
« A mixed community co-exist of high-medium-low social class…
Landmark is not the goal, only focus on the core value of construction – “Building benefit mankind’ »
Carrément
http://www.broad.com:8089/english/down/en_sky_city.pdf
Pour un habitat alternatif
Pour le soutien aux initiatives d’habitat coopératif
Appel lancé par Habicoop et la Fondation Abbé Pierre :
La crise du logement est devenue massive en France, elle touche maintenant plus de 10 millions de personnes, selon le dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre, les plus affectées étant évidemment celles qui se trouvent totalement privées de logement ou très mal logées, soit plus de 3,6 millions de personnes. Cette crise frappe de plus en plus les classes moyennes, tant pour la location que pour l’accession à la propriété. Le coût du logement a augmenté de 107 % en dix ans tandis que les revenus ne croissaient que de 17 %. Sur un même stock de logements identifiés, le montant des loyers a enregistré une hausse de 47 % au fil des relocations. Et les accédants à la propriété doivent y consacrer près de 43 % de leurs revenus, alors que les banques considèrent que la limite supérieure d’endettement pour l’octroi d’un prêt est de 33 %. Ces quelques éléments suffisent à montrer l’échec ou l’inefficacité des politiques publiques qui se sont succédées depuis des décennies en matière de logement. Certaines ont même pu contribuer à l’aggravation de la crise, en stimulant une production de logements plus orientée vers l’offre de mesures de défiscalisation que vers la réponse aux besoins effectifs de la population. En cinq ans, la défiscalisation a représenté l’équivalent de dix ans de politique de logement. De façon plus générale, nous assistons à une financiarisation du logement et de la ville, qui a pour principal moteur la spéculation foncière et immobilière.